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vendredi 17 juillet 2015

L'année du loup-garou, Stephen King


Déception
Auteur: Stephen King
Date: 1983
Editeur: J'ai lu
Genre: horreur / fantastique
page: 120


SYNOPSIS: Quand arrive la pleine lune, une peur sans nom s'empare des habitants de Tarker Mills, petite bourgade tranquille nichée au creux des profondes forêts du Maine. Tous entendent, derrière la plainte du vent, des grondements de fauve auxquels se mêlent encore les échos d'une voix humaine. Le monstre est là. Qui tuera-t-il ? L'horreur commença en janvier sous la lueur glacée de la pleine lune. Un premier hurlement insoutenable déchira la nuit. C'était le début de "L'année du loup-garou".
 
"L'amour, ce serait comme une mort"
 
MON AVIS: A tous les fans inconditionnels de Stephen King...désolé d'avance. Le fait que je n'ai pas forcément apprécié cette oeuvre relève peut-être du fait que cette histoire ne vient pas réellement d'une envie de l'auteur. En effet, en 1979, l'éditeur Christopher Zavisa lui comme de une histoire fractionnée en 12 parties et en 500 mots. Le texte sera accompagné d'illustrations de Vernir Wrighton.

Cette histoire entre donc dans le genre fantastique et horreur. Mais pour mon premier Stephen King, j'avoue que c'est une déception. L'auteur n'a pas réussi à me transmettre d'emotions quelconques. A aucun moment je n'ai été angoissée, j'ai juste lu pour arriver à la fin.
La lycanthropie n'a jamais été un thème qui m'attire et j'avoue avoir trouvé l'histoire plate. Il faut évidement introduire l'histoire mais durant les premiers chapitres il se passe à chaque fois la même chose. Il finit donc par ne plus y avoir de surprise.

Le fait qu'un chapitre corresponde à un mois je trouve ça assez intéressant. Stephen King est réputé pour être un pro du suspense et sur ce point je ne peux qu'être d'accord. Car tout au long de ma lecture je me suis longuement demandé où l'auteur voulait m'emmener. Et très franchement, avec cette fin plus que prévisible je n'ai pas vu l'intérêt  global.

Néanmoins, j'ai apprécié le style d'écriture qui a rendu ma lecture très fluide.
 
"Le vautour bat des ailes comme s'il voulait s'envoler tandis que les hommes qui exploraient le parc à la recherche de l'enfant se détournent de cette vision d'horreur, le cœur au bord des lèvres."
 

13/20
  
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